vendredi 26 octobre 2007

Che Guevara #6

8 commentaires


Je rajoute au bloc-notes un entretien de Jean Gilles Malliarakis qui commente le dernier livre de Jacobo Machover "La Face cachée du Che".
Cela ajoute un support audio au bloc-note.

Cet entretien a été enregistré pour l'excellent site multimédia Lumiére 101.
Bonne écoute !


vendredi 12 octobre 2007

Che Guevara #5

18 commentaires

Vu sur le blog de Leaule

Tout le monde connaît l’inénarrable trogne de Che Guevara; son faciès velu et désobligeant orne quantité d’objets les plus futiles. Il y a peu encore, je voyais des agendas scolaires ornés de sa délicate frimousse, comme si l’achat de cet objet ô combien socialisant embelli par cette figure à l’ampleur presque christique, était l’apogée, que dis-je, le parangon de la classe branchouille et révolutionnaire.

Nul doute que tout étudiant qui aura commis cet investissement se verra gratifié de l’admiration ravie de ses camarades agrémentée d’une pointe de jalousie amère à chaque fois qu’il l’exhibera fièrement à l’issue d’un cours. Ce que ces écervelés qui se prennent pour d’énergiques rebelles ignorent sans doute aucun, c’est que le Che, s’il était encore en vie à ce jour, les aurait à n’en point douter, abattus courageusement d’une balle dans le dos après les avoir jugés hâtivement (étape facultative) et traités de fascistes, ou pire encore, de bourgeois (ce qu’ils sont, à leur plus grand déshonneur, je le concède). Ces jeunes assoupis et enivrés de mollesse mériteraient bien un soufflet doublé d’une obligation de se munir, non pas d’un agenda Che Guevara, mais d’un tant soit peu de jugeote. J’en souhaiterais presque le Che soit encore en vie, cet ennemi farouche du capitalisme, rien que pour qu’il puisse verdir d’une insupportable rage en constatant à quel point l’ingénieux commerce s’est accaparé son aura pour en faire un atout majeur de vente et ainsi atteindre des chiffres d’affaire faramineux. Ironie du sort, pourrais-je dire. Les affaires vont d’autant plus aller bon train que nous célébrons en ce fatal jour endeuillé, le trépas du sieur Guevara qui a eu la très bonne idée de quitter ce cruel monde depuis quarante ans. Quarante ans de négationnisme historique, de relativisme culturel, de T-shirts Che Guevara et de mensonges procommunistes.

Finalement, en quarante ans, rien n’a changé, il y aura toujours des crétins de gauche qui iront vous dire que le Che était un homme exceptionnel, humaniste exemplaire et idéaliste, qui vous distribueront une image romantique et pure de cette homme et en profiteront pour faire le discret panégyrique du courage communiste. En ce qui me concerne, je retiendrai cette date fétide comme le jour pleinement consacré aux abrutis arborant ingénument sur eux une représentation d’un des plus inflexibles meurtriers du siècle dernier (puisse le Saint Esprit ou toute autre entité lumineuse leur faire réaliser que porter un T-shirt du Che ne vaut guère mieux que d’en porter un à l’effigie d’Himmler. Ô effroi, j’entends déjà s’élever claironnantes des voix rédemptrices m’affirmer que le communisme est amplement meilleur que le nazisme, ben tiens…) et par la même occasion l’énième et éclatante preuve de la gaucherie de gauche qui idolâtre des simulacres de fausses idoles en se permettant de falsifier et d’instrumentaliser l’histoire à des fins purement idéologiques, pour ne pas dire, propagandistes (et là nous nous rapprochons pernicieusement des fameuses photographies truquées qui circulaient il y a quelques décennies au sein de la Russie soviétique, sauf que nul n’ira admettre que cette hérésie se poursuit encore en notre époque rayonnante, une paire d’œillères bien ajustées faisant partie de l’attirail du parfait petit citoyen crétin). Cette énième manifestation de ce tropisme gauchiste (repris d’ailleurs par notre munificent et fienteux président lors de L’Affaire Guy Môquet) devrait pourtant en inquiéter plus d’un.

George pwned le CheQuitte à ce que ce long pamphlet soit de quelque utilité, qu’il permette d’instruire le gauchiste errant pour qui ces lignes subversives semblent iniques de l’imposture de cet homme dont on nous vante encore la sainteté et qui est devenu, excusez-moi du peu, un nouveau Christ pour jeunes branchouilles (le catéchisme les ayant ennuyés pendant l’enfance, il fallait bien trouver un substitut à ces ouailles candides), qui au lieu de fureter trois heures au H&M du quartier, feraient mieux d’aller ne serait-ce qu’une fois dans leur vie dans une bibliothèque (oui, cela existe encore) consulter un ouvrage historique (mais point ceux, falsifiés et incomplets qu’on met entre les mains des élèves pour mieux les abêtir).
Ainsi, lors de la période qui précédait la prise de pouvoir, notre cher Che, implacable, a assassiné un malheureux et sans doute famélique gamin qui a commis l’effroyable péché de gourmandise en voulant subtiliser de la nourriture; ce simple témoignage suffirait à introduire le personnage dans toute son amabilité. Pour ceux qui penseraient innocemment que notre vaillant héros aurait eu quelque repentir et se serait ensuite comporté d’une façon exemplaire, je n’ai qu’à citer le surnom évocateur qui lui fut de bonne grâce attribué lorsqu’il était responsable de La Cabana, une prison qui fut le badin théâtre de joyeuses atrocités: el carnicerito, le petit boucher. En ce lieu le Che s’adonne à de frivoles joies, comme l’exécution de plus de 200 opposants, la torture qu’elle soit morale et physique, ainsi qu’aux privations sur de pauvres hères déjà éprouvés par les conditions inhumaines de l’incarcération. Le Che va notamment massacrer des médecins opposés à l’oppression communiste (n’importe qui prenant le Che comme la superbe allégorie de la liberté devrait reconsidérer son jugement).

Tout gauchiste armé de sa bonne conscience éprouverait une profonde pitié ainsi qu’un apitoiement certain pour les clochards. Il est singulier que nombreux parmi eux détiennent des objets à l’effigie d’un homme qui a mis sous détention les mendiants pour pollution visuelle. Personnellement, je trouve qu’il s’agit là d’une idée judicieuse de sa part; si on pouvait faire de même en désengorgeant toute cette indigence qui vient importuner le passant honnête et en chassant les pitoyables quémandeurs qui viennent sempiternellement importuner les voyageurs dans les transports publics en jouant faux de leurs instruments désaccordés, en psalmodiant des suppliques larmoyantes (suivies d’injures fleuries si personne ne daigne donner de pièce), en tendant un moignon sale, ou encore en exhibant des animaux en bas âge pour mieux apitoyer le chaland! Quoi qu’il en soit, cette pratique n’est pas compatible avec l’idéal complaisant et pseudo-humaniste des gauchistes. Notre gentilhomme déclarera même: “Nous avons fusillé et nous fusillerons tant que cela sera nécessaire. Notre lutte est une lutte à mort.” Si seulement on pouvait par la même occasion fusiller ceux qui portent ces T-shirts d’infamie!

Starche CoffeeOutre la création de camps de travaux forcés afin de rééduquer les récalcitrants aux joies idylliques de la révolution cubaine, notre cher Guevara va aussi détruire toute l’économie cubaine, qui s’en sortait pourtant convenablement. Par une politique tout simplement socialiste, il mit en place une réforme agraire mettant en commun les terres et bannissant le droit à la propriété. Ce fut un échec prévisible; ôtez sa terre à n’importe quel paysan suffisait à le démotiver, et à juste titre; c’est comme si on confisquait d’office l’intégralité du salaire d’un employé, qui doit pourtant continuer à travailler sans jamais jouir du fruit de son labeur. On comprend vite l’aberration communiste. L’armée allait même jusqu’à contrôler la distribution des semis. Le marché cubain de la canne à sucre, faisant autrefois la fierté du pays a lamentablement chuté, de même que l’industrie de la chaussure qui avait pourtant permis à bon nombre de cubains de vivre décemment. En contrepartie, le Che leur a offert le tourment de la Terreur cubaine, tandis que celui-ci s’établissait dans l’un des quartiers privés les plus riches de la Havane.

Qui pourrait encore raisonnablement voir en cet homme lâche, tyrannique, borné et crédule un être libre, clément, sage et honorable? Comment peut-on encore assimiler cet ingrat visage de tortionnaire, de tyran, à l’image sereine et vénérable de la liberté? Sans oublier le fait que le Che n’était qu’un misérable pantin obéissant naïvement à un Fidel Castro qui finira vite par trouver le petit roquet importun, trop obséquieux et extrême. Che Guevara était l’équivalant d’un Félix Dzerjinski, et ni plus ni moins qu’un gamin capricieux et naïf qui voulait que tout le monde pense comme lui et qui aurait mérité enfant une bonne paire de claques, un petit tyran insipide qui n’en avait strictement rien à faire d’un peuple qu’il a précipité dans la misère et utilisé à des fins personnelles, un homme pratique pour faire les basses œuvres en permettant à Fidel Castro de respirer une sainteté toute relative. Celui-ci, jusque dans la mort misérable du Che finira par l’instrumentaliser à profit en l’élevant au rang de martyr politique.

Che is deadVoilà quarante ans que cette chiure a quitté le monde, mort sans aucun honneur lors d’une embuscade; qu’attendons-nous pour cesser le tri sélectif et jeter à jamais le Che dans les poubelles de l’histoire? Qu’il rejoigne à perpétuelle demeure toutes les pourritures et les ordures de son acabit, au lieu de laisser cet homme mauvais se faire recycler par de jeunes crétins ignares et déprimés, abrutis par des décennies de relativisme historique, abêtis par la frénésie du consumérisme qui leur permet d’oublier le vide cosmique de leur médiocre existence. Le Che demeure encore à ce jour, une icône de l’inculture et de la dégénérescence de notre société. Il ne reste plus à souhaiter au peuple cubain qu’un homme éclairé tel le général Pinochet vienne sauver Cuba de l’excrément communiste qui la laisse gésir dans la souillure de cette révolution inique et redonne à ce pays et ses habitants l’espoir de revenir en arrière, avant 1959, quand Cuba progressait grâce à un capitalisme juste et prospère.

mardi 9 octobre 2007

Che Guevara #4

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Vu sur le Webzine de Thucydide

Il y a quarante ans, le 9 octobre 1967, Che Guevara était tué par les Boliviens. Ce communiste convaincu est resté, et reste encore, un mythe et un symbole, idole d’une partie de la jeunesse d’hier et d’aujourd’hui. L’image du révolutionnaire luttant contre l’impérialisme américain et pour les faibles. Malheureusement, cette image stéréotypée ne résiste pas à l’examen intégral de son itinéraire : car il fut aussi un criminel, un artisan du régime totalitaire et le responsable du désastre économique cubain.


Ernesto Guevara est né au sein d’une famille bourgeoise le 14 juin 1928 en Argentine, à Rosario, au nord-ouest de Buenos Aires. Asthmatique, il défie son handicap en pratiquant beaucoup de sports : football, rugby, ping-pong, cyclisme… Ernesto se montre aussi un très grand lecteur, dévorant en particulier les récits de voyage.

« Je participerai à la prochaine révolte armée »

En 1948, Ernesto Guevara commence ses études de médecine. En 1950, il se lance dans un voyage à travers l’Argentine avec une bicyclette à moteur. À cette occasion, il soigne des métis indiens et des lépreux. Il entre au contact du petit peuple. De décembre 1951 à juillet 1952, il effectue un deuxième périple, cette fois dans toute l’Amérique latine, avec son ami médecin, Alberto Granado : il traverse le Chili, le Pérou, la Colombie et le Venezuela. Sa révolte contre l’injustice grandit. Enfin, un troisième voyage, encore à l’échelle du continent, après l’obtention de son diplôme de médecin, confirme sa prise de conscience. De juillet 1953 à 1954, il chemine en Bolivie, au Pérou, au Costa Rica, en Équateur et au Guatemala, où il assiste au renversement du président Arbenz le 17 juin 1954. Cet événement lui fait dire : « Quoi qu’il arrive, je participerai à la prochaine révolte armée. »
Imprégné de marxisme, anticapitaliste et antiaméricain – il dénoncera toute sa vie l’impérialisme américain –, le Che – ainsi que l’ont surnommé des exilés cubains qu’il a rencontrés en 1953 [1] – est animé par la passion de la révolution, de la lutte armée. En 1955 a lieu une rencontre décisive : il fait la connaissance du Cubain Fidel Castro à Mexico. Ce dernier venait alors de lancer le Mouvement du 26 Juillet – ou M26-7 – en mémoire aux événements du 26 juillet 1953.
Le 10 mars 1952, à Cuba, avait eu lieu un coup d’État du général Batista qui instaura une dictature sur l’île. Le 26 juillet de l’année suivante, des opposants au régime, menés par Fidel Castro, se soulevèrent et tentèrent de renverser la dictature en attaquant la caserne de la Moncada. Ce fut un échec et Castro, comme d’autres, furent contraints à l’exil.

C’est au Mexique, donc, que Guevara entre dans le Mouvement du 26 Juillet et s’entraîne avec ses troupes. Et, le 25 novembre 1956, il s’embarque, avec Fidel Castro et 80 autres rebelles, sur un bateau, la Granma, qui doit voguer jusqu’à Cuba. Les membres du M26-7 opèrent un débarquement clandestin catastrophique le 2 décembre, dans des marais, près de Los Coloradas. Leur arrivée avait été prévue pour le 30 novembre et c’est ce jour-là que les hommes du M26-7 restés à Cuba se sont soulevés, à Santiago. L’insurrection s’est soldée par un échec.
De leur côté, les 82 rebelles venus du Mexique se réfugient dans la sierra Maestra où, à partir de 1957, ils mènent la guérilla. Dès juillet, Che Guevara est promu commandant et devient responsable d’une colonne de l’Armée rebelle, ex-Mouvement du 26 Juillet. Pendant ces années de guérilla, le Che créé un journal, Cubano libre, une radio, Radio Rebelde, et une école destinée à former les futurs guerilleros. Durant cette période, Che Guevara fait aussi assassiner, ou exécute lui-même, des dizaines de personnes. À la fin de 1958, il prend la ville de Santa Clara, un point décisif sur la route menant à la capitale. Le 8 janvier 1959, La Havane est prise et Castro y fait une entrée triomphale.

Che Guevara fonde les premiers camps de concentration à Cuba

Dès lors, le Che participe activement à l’instauration d’un régime socialiste à Cuba en introduisant le modèle soviétique sur l’île. Ce « partisan de l’autoritarisme à tout crin », selon les mots de Régis Debray dans Loués soient nos seigneurs, embrigade la jeunesse : sont ainsi créées, le 8 janvier 1960, les Associations de la jeunesse rebelle. Surtout, Che Guevara est responsable de l’exécution sommaire de très nombreuses personnes dans la mesure où il est chargé de juger, condamner et exécuter les opposants. C’est lui qui instaure les premiers camps de concentration dits « correctifs » ou de « rééducation » à partir de 1960, équivalents tropicaux du Goulag soviétique ou du Laogaï chinois. Comme exemple, on peut citer le camp de travail de Guanahacabibes. Le révolutionnaire est devenu homme d’État.

Ayant reçu la nationalité cubaine le 10 février 1959, Che Guevara est nommé par Fidel Castro ambassadeur plénipotentiaire. Il part le 12 juin 1959 en tournée à l’étranger afin de faire connaître la révolution cubaine. Il est reçu en Égypte du 12 au 19 juin. En Inde, du 30 juin au 12 juillet, Che Guevara en profite notamment pour rejeter le principe de non-violence prêché par Gandhi comme moteur de la politique sociale, et pour demander, mais en vain, à acheter des armes. Du 15 au 29 juillet, il est au Japon où, impressionné par le dynamisme industriel, il nourrit les mêmes projets pour Cuba. Puis le Che visite l’Indonésie, du 24 juillet au 4 août, et la Yougoslavie qui, comme l’Inde, refuse de lui vendre des armes. Le Che est de retour à La Havane le 8 septembre.
C’est ensuite que Guevara exerce des fonctions dans le domaine économique, domaine dans lequel il est totalement incompétent, dépourvu des notions les plus élémentaires. Le 7 octobre 1959, il est nommé par Castro chef de la section Industrie de l’INRA, Institut national de la Réforme agraire. L’idée de Che Guevara est de tout planifier, tout nationaliser et même de supprimer l’argent, qu’il a en horreur.

Le 26 novembre, il devient président de la Banque centrale. Le 10 décembre, il décrète la mort du latifundisme, c’est-à-dire des grandes propriétés foncières. Les compagnies étrangères sont nationalisées. Le 24 juin 1960, il procède à la nationalisation des raffineries de pétrole étrangères. Le 24 janvier 1961, Castro le nomme ministre de l’Industrie. Guevara lance un plan quinquennal visant à développer une industrie lourde et légère. Enfin, le 5 septembre 1961, il devient ministre du Travail.
La collectivisation des terres, le quadrillage de la population et la réduction des contre-pouvoirs suscitent une exaspération de la population. C’est ainsi, qu’entre-temps, Che Guevara, avec Fidel Castro, fonde, en septembre 1960, les Comités de défense de la révolution, les CDR.

Les résultats de l’économie socialiste instaurée par Guevara ne se font pas attendre et se révèlent catastrophiques. La productivité chute. Les secteurs de la production sont victimes de décisions contradictoires et mal adaptées. Les usines sont de mauvaise qualité. Une économie de pénurie se met en place, aboutissant à des situations aberrantes : ainsi, les immeubles de plus de quatre étages sont interdits car les ascenseurs font défaut. Surtout, cette économie va de pair avec un renforcement de la répression car le 13 mars 1963, la peine de mort est rétablie pour un certain nombre de crimes, et notamment des crimes de nature économique. Les récalcitrants sont envoyés en camp de travail.

Son but : créer l’homme nouveau

Ce désastre économique provoqué, ainsi que les crimes commis, répondent à un but bien précis de la part de Guevara : son idée est de créer un « homme nouveau », une société idéale. N’a-t-il pas déclaré : « Il faut changer l’homme pour changer la société » ? Selon lui, l’homme nouveau doit se couler dans le moule qui va l’aider à faire table rase d’un passé aliénant. Ce moule se traduit, très concrètement, par ces fameux camps dits de « rééducation » ou « correctifs », destinés à remettre dans le droit chemin, en quelque sorte, les déviants. Car Guevara est obsédé par les déviances contre-révolutionnaires. Ce qui est logique, pour ce passionné de la révolution.

Pas seulement révolutionnaire dans les actes, il est aussi théoricien de la révolution. Il a véhiculé ses idées dans plusieurs ouvrages. Il est en quelque sorte l’équivalent de Lénine en Amérique latine. En 1960, il publie La Guerre de guérilla. Il explique que la force populaire peut gagner contre une armée régulière, qu’il ne faut pas attendre que les conditions pour une révolution soient réunies pour agir et qu’un foyer de rébellion peut lui-même les créer, et enfin que le terrain fondamental de la guérilla, en Amérique latine, est la campagne.

Dans ses Souvenirs de la guerre révolutionnaires, publiés en 1964, Che Guevara relate ses aventures dans la Sierra maestra. Il publie également en 1966 Le socialisme et l’homme à Cuba et rédigera, quand il sera en Bolivie, un journal qui sera publié après sa mort, en 1968, sous le titre Journal de Bolivie. Dans ces livres, on retrouve l’idée de Lénine selon laquelle la violence est nécessaire – c’est pourquoi Guevara s’était opposé à la non-violence de Gandhi – et que le but du socialisme est de créer un homme nouveau.

En 1965, Guevara quitte Cuba pour le Congo avec 150 soldats cubains où il entend former des guerilleros africains. C’est un échec et il retourne à La Havane en 1966. Fin 1966 cependant, il entre en Bolivie pour y créer un centre de formation de guerilleros venus de toute l’Amérique latine. La Bolivie est, pour cela, un pays stratégique car il possède des frontières avec cinq États différents : le Chili, le Pérou, le Brésil, le Paraguay et l’Argentine. Dès son arrivée en Bolivie, le Che prend le maquis.
Mais, lâché par le Parti communiste bolivien et n’ayant plus de contact radio possible avec La Havane, la situation devient difficile. À partir de février 1967, il explore, avec sa troupe d’une trentaine d’hommes, la zone où il est implanté, le Ñancahuazu. Les guerilleros sont repérés en mars 1967 par l’armée bolivienne qui se mobilise et reçoit de l’aide de la CIA. Le 8 octobre, le Che est capturé. Le lendemain, il est exécuté sur ordre du président bolivien et contre l’avis de la CIA qui aurait voulu l’interroger.

Aujourd’hui, les personnes portant sacs ou T-shirts à l’effigie de Che Guevara ne sont pas rares. Dans certaines manifestations, sa mémoire est vivace. Ainsi, lors de la Fête de l’Humanité du 11 septembre 1994, un drapeau rouge flanqué du visage du Che flottait parmi la foule. Déjà en mai 1968, la jeunesse étudiante avait placardé la photo de Guevara, à côté de celles de Lénine et Trotski. Che Guevara reste un mythe et un symbole pour toute une jeunesse d’extrême gauche qui ne voit en lui qu’un révolutionnaire romantique. Et qui préfère oublier le criminel qu’il fut.

Bibliographie :

BATAILLON, G., « Che Guevara, guerillero, saint et martyr », in L’Histoire, juillet-août 2007, n° 322, pp. 92-95.
MATOS, H., Et la nuit est tombée. De la révolution victorieuse aux bagnes cubains, Les Belles-Lettres, 2006.
VAYSSIÈRE, P., « Che Guevara : la face cachée d’un guerillero romantique », in L’Histoire, octobre 1997, n° 214, pp. 6-8.

dimanche 7 octobre 2007

Che Guevara #3

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J'apporte ma modeste contribution au bloc-notes anti guevariste en m'appuyant sur le livre noir du communisme, livre indispensable à lire pour tout anti-communiste qui se respecte !


Résumé bref de sa vie :


Il est né dans une famille bourge à Buenos Aires en 1928, de son nom Ernesto Guevara plus communément appelé le "Che".


Il termine ses études de médecines après un voyage entre la jungle d'Amérique centrale et la Pampa avec un problème d'asthme chronique il est ainsi affaibli.
Guevara devient anti-américaniste quand il aperçoit la misère au Guatemala quand Jacob Arbenz et son régime progressiste est renversé par les américains.


Il rencontre Castro quand il était un jeune avocat cubain en 1955 au Mexique.
Ernesto décide dès lors de suivre les cubains...

Une fois la victoire acquise en 1958 contre les hommes de Batista il organise à la prison de Cabana de nombreuses exécutions
Quand il devient ministre de l'industrie et directeur de la Banque Centrale, il impose le modèle soviétique.

Il arrive à mépriser l'argent malgré son habitat dans les quartiers privés de la Havane.
A cause de ses lacunes en économie il ruine la Banque Centrale
Il institue des dimanches de travail volontaire avec plus d'habilité à cause de son admiration des PC de Chine et D'URSS...

Il salue la Révolution Culturelle.
Je vous rappelle au passage que les premiers camps de travaux forcés ont été créés dans la péninsule de Guanaha, par lui et non par Castro !

Dans son testament il loue " la haine efficace, violente, sélective et froide machine à tuer"
Il dit aussi qu'il ne peut pas être ami avec quelqu'un qui a des idées contraires aux siennes"

Il baptise son fils Vladimir en honneur au tout aussi sanguinaire Lénine.

Désireux d'exporter la révolution dans sa version cubaine aveuglé par son anti américanisme primaire, il s'emploie à propager les guérillas à travers le monde, et ainsi d'après son slogan créer de nombreux Vietnam.

En 1963, il est en Algérie puis à Dar es-Salaam, avant de gagner le Congo où il croise le chemin de Désiré Kabila, un marxiste qui ne répugne pas aux massacres de populations civiles.
Et là en 1967 il est capturé et exécuté...

Che Guevara #2

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Vu sur le blog Drzz

De toutes ces années où l'Europe a collaboré avec les Soviétiques, en pleine guerre froide, alors que cette alliance lui promettait la terreur et la soumission, de toutes ces années de lâche compromission, il reste les portraits de Che Guevara. Cet immonde personnage, responsable de l'édification des premiers camps de concentration à Cuba (dans la baie de Guanaha), tête pensante de l'instrumentalisation de la jeunesse cubaine, responsable de centaines de morts arbitraires, cet assassin psychopathe, grand admirateur de Lénine, est porté par des centaines de milliers d'imbéciles à travers tout l'Occident.

"Je ne peux accepter quelqu'un qui n'a pas le même avis que moi" se plaisait à dire Guevara, dont le premier fait d'arme a été d'avoir ordonné la mort d'un gosse de douze ans qui avait volé de la nourriture alors qu'il marchait avec les guerrilleros dans la montagne. Parmi les autres "exploits" du grand révolutionnaire socialiste qui passait sa vie dans le quartier le plus riche de la Havane, la ruine de la banque centrale cubaine - dont il eut la direction pendant un certain temps - ainsi que l'exécution sommaire de guerrilleros luttant contre Battista mais comptant également lutter contre la dictature nouvelle instaurée par Fidel Castro. (voir "le livre noir du communisme", Paris, Robert Laffont, 1997, pp. 763-764)


Il serait sain de s'interroger pourquoi, il y a quelques années, nous avons entonné une chanson populaire dédiée à cet assassin, pourquoi, tous les jours, nous voyons passer des centaines de personnes arborant la tête de l'un des plus grands malades du XXe siècle. L'Europe gauchisée et la gauche américaine l'adorent. Le socialisme étant par nature une idéologie totalitaire, Che Guevara est devenu son emblème.

Alors que nous fêtons la mort et la descente aux enfers d'une autre pourriture - Mao -, je propose à tous les lecteurs de ce blog de sortir le champagne le 8 octobre prochain. Cela fera 39 ans que la CIA a éliminé le Che. ça se fête.


Et si par hasard vous aviez un t-shirt du personnage, brûlez-le, et arborez fièrement le visage d'un vrai révolutionnaire de la liberté :

T-shirts disponibles ici : http://www.thoseshirts.com/reagan.html

Pour plus d'infos, lire :

"Le Che, le bras assassin de Castro" (en anglais) :

http://frontpagemag.com/Articles/ReadArticle.asp?ID=19823

"Le Che, la machine à tuer" (en anglais)

http://www.independent.org/newsroom/article.asp?id=1535

"Le véritable Che Guevara" (en anglais)

http://www.newcriterion.com/archive/23/oct04/che.htm

"Le véritable Che" (en anglais)

http://www.sfherald.com/columnists/fontova/the_real_che.html

samedi 6 octobre 2007

Che Guevara #1

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Vu sur la Cyber-Résistance

Che Guevara, «un bourreau fanatique»

Dans son livre, «La Face cachée du Che», Jacobo Machover, un exilé cubain, brise l’image héroïque et humaniste du révolutionnaire argentin. Interview…

Dans votre livre, vous détruisez le mythe de Che Guevera, décrit comme un «bourreau implacable», qui fume le cigare en regardant les exécutions. D’où vient son statut d’icône?
C’est une construction post-mortem. Deux types de personnes y ont contribué. Castro lui-même, qui en a fait un héros presque surhumain, un grand penseur et un humaniste, et les intellectuels du monde entier, en particulier français, qui le considèrent, comme l’a affirmé Sartre, comme «l’homme le plus complet de notre temps».

Il a été assassiné jeune. Cela y a-t-il aussi contribué?
Oui. Et c’était le moyen, pour Castro, de donner une image éternellement jeune à la révolution cubaine, alors que Castro vieillissait, et que la révolution elle-même devenait obsolète.

Comment expliquer l’engouement des intellectuels français pour le Che à l’époque?
C’était comme un souvenir des premières années de l’internationale communiste. Le Che incarnait l’internationaliste mort au combat, avec des réminiscences de la guerre d’Espagne. Les intellectuels français avaient besoin de croire à un demi-dieu, et le Che convenait tout à fait pour trois raisons. Parce qu’il a fait des études de médecine -sans être médecin -, parce qu’il avait une certaine culture, et parce qu’il parlait un peu français - très mal, mais cela donnait d’illusion qu’il était polyglotte. Le tout donnait l’image d’un humaniste prenant les armes malgré lui, ce qui est faux. Sa légende est une entreprise de mystification collective.

Cette image a-t-elle évolué aujourd’hui dans ces milieux?
Quand j’ai parlé du projet de mon livre, certains intellectuels m’ont dit «il ne fait pas casser tous nos rêves». Regis Debray, qui a frayé avec lui, est revenu sur ses positions et a décrit le Che comme un fanatique extrémiste. Mais Régine Deforges, par exemple, vient d’écrire un article dans l’Humanité où elle parle du «poète de la Cabana», la prison où il participait aux exécutions des anti-révolutionnaires… Dans le registre politique, Olivier Besancenot se réclame de lui.

Comment l’expliquez-vous?
J’hésite entre l’ignorance et la complicité. On a du mal à comprendre, surtout pour les familles des victimes. Mais je penche plutôt pour la complicité.

Que vous inspire le marketing autour de la figure du Che?
J’espère faire faire faillite à toutes les boîtes qui la reproduisent à la chaîne sur des posters, drapeaux, sacs, ou sur des maillot de bains, comme j’ai pu le voir dans un article du Sunday Times ce week-end.

Vous dites au début du livre que vous étiez vous-même un «admirateur de Che Guevara». Quand et comment en êtes-vous revenu?
Mon père travaillait avec lui comme interprète. Puis on a dû s’exiler en 1963, et nous n’avons pas pu revenir. De mon côté, je me suis documenté, puis j’ai profité d’une période d’ouverture de Cuba pour m’y rendre, à la fin des années 1970, et là j’ai tout de suite compris. La surveillance constante, la délation… Sur place, j’ai vu la panique sur le visage d’une amie quand je lui ai dit que, comme tous les étrangers, j’étais surveillé. Parler à un étranger est un délit, même si bien sûr ce n’est écrit nulle part, mais on peut toujours vous accuser d’intelligence avec l’ennemi. Ce voyage coïncidait avec la fuite massive des Cubains. 125.000 d’entre eux ont fui en Floride à ce moment-là. On est bien obligé de se poser des questions: Pourquoi autant de monde fuit-il le «paradis socialiste»? A mon retour, j’ai commencé à écrire.

Comment les Cubains le perçoivent-ils aujourd’hui?

Ils ont toujours eu de lui une image imposée. Les enfants sont élevés dans le culte du Che, dont l’image trône toujours à La Havane. Mais en même temps, les gens se souviennent de ce que le Che a fait, il y a la mémoire des exécutions, qui faisaient la Une des journaux, et des prisonniers. Il n’y a personne sur l’île qui n’ait été victime ou ne connaisse une victime du Che. Ces aspects sont occultés. Mais aujourd’hui, les langues se délient.

Vous dites que Castro a instrumentalisé Guevara, qui s’est révélé lui-même assez naïf…
Oui, il était naïf de croire qu’il pouvait travailler en dehors du contrôle absolu de Fidel et de son frère Raul. Le Che n’avait pas l’intelligence de Fidel, qui l’a utilisé comme instrument au service de sa politique extérieure, et s’en est débarrassé en temps voulu. Le Che se croyait plus utile vivant que mort, ce qui n’était pas l’avis de Castro. Che Guevara a fini par déranger tout le monde pour trois raisons. D’abord parce qu’il a revendiqué, en 1964, les exécutions à la tribune de l’ONU alors que Castro n’en parlait plus à ce moment-là. Ensuite parce qu’il a rencontré le chinois Mao sans l’accord de Fidel. Enfin parce qu’il a critiqué l’Union soviétique dans son discours d’Alger. C’était insupportable pour l’URSS et Castro, qui l’a alors envoyé au Congo pour se faire tuer. Finalement, il sera assassiné des années plus tard en Bolivie. Le régime cubain aurait pu le faire exfiltrer, mais Raul, qui ne l’aimait pas, a dit: «qu’il aille se faire foutre, l’Argentin». Personnellement, c’est dans sa mort, à Santa Clara, que je le trouve le plus humain, quand il cesse d’être un «héros», un fanatique imperméable à tout sentiment.

Qui seraient ses héritiers, aujourd’hui?
J’espère qu’il n’y en a pas! Sur le plan de «l’humanisme révolutionnaire» et des doctrines économiques, c’est le régime en place à Cuba. Si l’on prend en compte sa conception de la lutte armée, ce sont les mouvements fanatiques, comme les Farc en Colombie. Et si c’est sur le plan de la cruauté, ce sont les mouvements terroristes actuels.

Et sur l’image du «héros romantique»?
Je ne vois pas où est son romantisme. Il prononce le mot «amour» mais dit en même temps qu’il «doit prendre des décisions douloureuses». Drôle d’amour… Il revendique celui pour l’humanité, mais à ses yeux quiconque qui n’est pas capable de cet amour là doit être éliminé…

Ce type de déclarations ou d’écrits du Che sont-elles la source de l’immense «malentendu» que vous décrivez dans le livre?
La plupart des gens ne l’ont pas lu. Et puis il y a des phrases inventées, qu’il n’a jamais prononcées, mais qui donnent l’illusion d’un guérillero au grand coeur. Quand la démocratie sera rétablie à Cuba, je souhaite que le premier geste soit de décrocher son effigie et de débaptiser la «place de la révolution» pour redevenir la «place civique», son nom d’avant. Car pour nous, une bonne partie des Cubains, Che Guevara est le symbole et la réalité de l’oppression à Cuba. J’espère une démocratie qui ne soit ni romantique, ni héroïque. Juste une démocratie banale, mais qui permette de rétablir la vérité sur les victimes du régime castriste et sur le Che.

Comment pourrait-elle advenir?
Peut-être par un ras-le-bol de l’armée. Les révoltes populaires sont improbables, tout est si contrôlé… Il faut surtout une pression internationale, ne pas reconnaître la succession au sein de la tyrannie castriste, qui est une caricature de la révolution.

*ed. Buchet Chastel, 14 euros.

Source : 20 minutes.fr



vendredi 5 octobre 2007

Reichman TV

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Claude Reichman offre depuis quelques temps une alternative télévisuelle indispensable, à la l'expansion de la liberté d'expression à travers le monde cybernétique.

Le monde cybernétique, est on le croit plus libre, malheureusement ce n'est qu'une illusion, certes beaucoup de personnes, issues du "politiquement incorrect" arrivent à s'exprimer bien mieux que dans la réalité.

Mais malheureusement la censure est partout, j'en sais quelque chose...
Il faut tout de même savoir, que quand les entités importantes malintentionnées parviendront à maîtriser ce flux énorme qu'est le flux cybernétique, ils n'hésiteront pas à user des mêmes procédés que dans la réalité, on devra trouver alors encore une fois un moyen alternatif de s'exprimer.

Heureusement pour nous, cette époque est loin et je suis fier de vous annoncer que des personnes comme Claude Reichman repoussent jour après jour cette date de non-liberté totale.
Des personnes comme Claude Reichman, Gérard Pince, Maurice G. Dantec, André Dufour, Jean-Christophe Mounicq et j'en passe... nous aident de minutes en minutes, clics après clics à survivre et à rester sur ce grand chantier de fils et de contacts qu'est Internet, notre matrice à nous !
Je pense aussi aux sites comme le LibertyVox, RocKiK.Com et dernièrement Lumière 101.


Si jamais vous voulez vraiment rester immobile, paisible et surtout décontracté à contempler l'écran, pour éviter de se soumettre à un quota de cliquetis incessant et crispant...


Regardez Reichman Tv !


P.S : Pour ceux qui veulent avoir un archivage des émissions au niveau de Reichman Tv, vous pouvez allez voir sur le Forum de la Révolution Bleue dans ce fil !
Vous pouvez aussi commander les DVD ! ici <<<

jeudi 27 septembre 2007

Immobilisme ou mesures courageuses ???

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En direct des U.S.A, Gabriel nous écrit pour la seconde fois, pour la plus grande joie des internautes.

les révolutionnaires bleus s'expriment

#12

Bonjour a tous,

Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais il serait temps d'avoir un match de titan:
Jean-Paul Fitoussi vs Jean-Christophe Mounicq!

2 économistes en face à face, l'un prodiguant un futur radieux pour la France, l'autre faisant un état des lieux sans complaisance de la France.

Il est clair que les idées apportées par Jean-Paul Fitoussi pour soi-disant résoudre les problèmes de la France sont celles prônées par l'ensemble de la classe politique française depuis 25 ans, avec les résultats que l'on connait. En gros, l'immobilisme. Et, a lire ses articles, il est clairement le produit du socialisme, ce qui lui a permis de monter les étages sans trop de problème. Bien sure, la dette et les déficits de la France sont magnifiques, et du pain béni pour notre pays! Et, on trouve des excuses internationales pour nous expliquer que c'est normal et que les autres pays font pires; somme toute, on trouve des excuses pour ne pas résoudre les problèmes.

Donc, il n'est pas nécessaire d'ajouter que ce cher économiste évalue les problèmes avec lucidité sans y apporter de réponses claires, et c'est malheureusement le manque de courage de toutes ces brillantes tètes qui plombe la société française. Je vous en donne un aperçu - en parlant des dépenses de fonctionnement de l'Etat:
"Maintenant, il faut reconnaître qu'on ne pourra pas aller très loin dans cette direction. Parce que l'essentiel des services qu'offre le personnel de l'Etat est ardemment demandé par les populations : les professeurs, les infirmières, les médecins, les policiers. Il y a donc une contradiction dans le discours un peu "Café du commerce" sur le nombre de fonctionnaires entre ce qui est exprimé explicitement par les gens et ce qu'ils demandent réellement. Ce n'est donc pas une équation simple."

Comme vous le constatez, on a le problème, mais cet économiste n'y apporte aucune réponse claire. Donc, ma question est la suivante: quel est le but de faire un métier si ce n'est pas pour fournir des solutions limpides a des problèmes clairement évaluées. Et, plus généralement, n'est ce pas le but de la vie de résoudre des problèmes?

Je vous invite à lire le billet de ce cher économiste.
http://www.lemonde.fr/web/chat/0,46-0@2 ... 044,0.html

Et bien sure, vous trouverez les analyses de Jean-Christophe:
http://lerevolutionnairebleu.blogspot.com/

Alors, que faut-il faire: l'immobilisme ou les mesures courageuses pour donner de la liberté a la France?

A bientôt!

Gabriel, USA

Vous avez aimé ???

Vous pouvez suivre ses chroniques, sur le Forum de la Révolution Bleue, sur son fil : ici .

Cet article marque la douziéme édition des "Internautes s'expriment"

Vous avez quelque chose à dire, vous voulez vous exprimer, alors envoyez moi un e-mail avec un article titré et signé, et je le publierai avec plaisir sur le blog !

antico0911@yahoo.fr

mardi 25 septembre 2007

Nuon Chea un polpotiste enfin puni???

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Vu sur l'excellent blog conservateur, de mon ami dave.

Nuon Chea, l'un des collaborateurs les plus proches de Pol Pot va-t-il répondre de ses crimes ?

Pour ceux qui l'ignorent , ou pour ceux qui font mine de le faire , comme , par exemple, les derniers sympathisans communistes en France, le régime de Pol Pot ne fut pas seulement l'un des plus sanguinaires de la planète, détruisant 1/3 de la population du Cambodge, ce fut surtout le plus cynique, le plus délirant et aussi, hélas, l'un des plus soutenus par les masses décérébrés des gauchistes européens.

Nuon Chea s'occupa de la prison de Tuol Sleng (S-21), une antichambre de l'enfer où les Khmers rouges torturaient, violaient, tuaient tous leurs opposants. Et de 75 à 78 , au Cambodge, le simple fait de porter des lunettes ou de savoir lire pouvait faire de vous un opposant. Les intellectuels étaient forcément des esprits corrompus pour ces assassins.

Durant 3 ans, les Khmers vont enfoncer leur pays dans une folie sans nom. Décidant de repartir de l'année zéro, ils envoient les citadins à la campagne. Et tant pis pour les faibles, ils sont executés. Pol Pot, cet Hitler Khmer , s'appuie sur une armée de fanatiques, dont certains n'ont même pas 12 ans , qui lui obéissent aveuglément. La moralité n'existe plus. Le Cambodge se transforme en un vaste charnier pendant que les pacifistes en Amérique continue à fêter la défaite américaine au Viet-Nam.

La folie communiste n'a pas de limite. Les meurtres se succèdent. Contester un ordre, se plaindre de la fatigue, consoler un ami peut entraîner la mort. Pol Pot règne sur un océan de cadavre. Et Nuon Chea est l'homme qui orchestre cette macabre parodie de gouvernance. Et nul besoin de technique sophistiquée , un simple coup de pelle afin de briser le cou suffit pour faire l'un des plus grands génocides du XXe siècle. Après tout, les massacres au Rwanda n'ont eu besoin que de machettes.

Pendant ce temps, en Europe, les gauchos célèbrent Mao et admirent Pol Pot, l'homme qui a mis la bourgeoisie à genoux !!

Interdisant la monnaie, la propriété privée, les Khmers propulsent leur pays dans les limbes du sous developpement : la famine s'installe, l'économie plonge, n'existant plus. Athés intégriste, les Khmers liquident toute religion et détruisent sans disctinction les églises chrétiennes , les pagode boudhistes . Les croyants , chrétiens, boudhistes, musulmans sont impitoyablement assassinés.

Il faudra l'intervention du Viet-Nam , pourtant l'allié de la veille, pour que le monde découvre l'horreur Khmer. Mais même là les scribouillards de l'Humanité détourneront pudiquement les yeux.

Pol Pot mourra tranquillement, sans jamais répondre de ses crimes. "Regardez moi, ai-je l'air d'un sauvage ? j'ai la conscience tranquille !". Voilà comme se dépeignait Pol Pot

Nuon Chea a moins de chance. Ce vieillard e 82 ans va donc passer en jugement. Cet adepte du marxisme leninisme coulait des jours paisibles de rentier du côté de Païlin !! De rentier !! Pour un homme qui se réclamait du communisme.

Puisse vivre-t-il encore assez longtemps pour répondre de l'horreur qui a mise en place durant ces années de terreur. Durant ces années normales dans un régime communiste.

Et encore...

Complétement d'accord, avec toi dave !

Nous vivons dans un monde bien dégeulasse, certains crimes sont encore impunis, et cela n'est pas acceptable.

Battons nous alors, pour que ces horreurs ne restent pas sous secret !
Comme l'avait dit drzz, les gauchistes ne se sont jamais excusé d'avoir soutenu ces atrocités.

J'invite tout le monde à aller voir, le site en dessous, pour vraiment se rendre compte de l'horreur communiste, en particulier dans au Cambodge...


khmer.jpg

N'oubliez pas de visiter ce site médiathéque qui retrace les horreurs polpotistes(sensibles, s'abstenir !) :

>>>Cliquez sur moi<<<

La Révolution Bleue s'organise en Lorraine

4 commentaires



La mobilisation populaire que la Révolution Bleue appelait de ses vœux s’étant réalisée dans les urnes au profit du candidat incarnant la « rupture », quel bilan pouvons-nous dresser quatre mois après l’élection présidentielle?

Une loi au rabais sur le service minimum dans les transports publics, une autonomie des universités passée à la trappe, un « paquet fiscal » édulcoré par le Conseil Constitutionnel et rendu bien peu attractif pour l’immense majorité des Français, une croissance en berne, une approche timorée du problème de l’immigration et des « sans papiers », des tergiversations et demi-mesures en perspective sur les régimes spéciaux de retraite.

En revanche, aucune rupture en vue avec notre ruineuse « exception française », ses déficits et ses gaspillages en tout genre, avec la dictature de syndicats minoritaires et sans légitimité, avec les bavures à répétition de notre système judiciaire, avec le naufrage des monopoles publics comme ceux de l’éducation « nationale », de l’ANPE/UNEDIC, de la SNCF et de la sécurité sociale.

A propos de l’insécurité qui s’installe, des violences urbaines qui perdurent et de l’islamisation qui gagne chaque jour du terrain : silence radio ! Sur tous les sujets qui fâchent ou qui dérangent, l’occultation est de rigueur, soigneusement entretenue par les gardiens du politiquement correct.

Bernard KOUCHNER vient d’en faire l’expérience, en prononçant à la télévision un mot tabou. Idem pour François FILLON qui vient d’avoir le mauvais goût d’avouer qu’il était à la tête d’un Etat en faillite. Quant à Christine LAGARDE, elle s’est fait réprimander il y a peu pour avoir imprudemment parlé d’un « plan de rigueur » en préparation dans la Fonction Publique !...

Il ne faut surtout rien faire ni rien dire qui puisse susciter l’angoisse ou réveiller l’esprit critique les Français ! Et pour leur faire croire que tout va bien, le pouvoir en est réduit à vivre d’expédients médiatiques. On ne recule alors devant aucune naïveté ou manipulation.

Comme Jacques Chirac en son temps avait su utiliser l’effet de la coupe du monde de football pour relancer sa cote de popularité, Nicolas Sarkozy implore les dieux du rugby de lui rapporter les bénéfices d’une victoire, avec en prime le point croissance économique qui nous manque !

En se retrouvant en première ligne après avoir accaparé tous les pouvoirs, le nouveau chef de l’Etat risque d’apparaitre bien seul.

Après avoir servi de rampe de lancement à son président, l’UMP semble loin d’incarner une force militante capable le moment venu de mobiliser ses troupes pour les faire si besoin descendre dans la rue, pour soutenir une personne (de Gaulle en mai 68), un programme ou une idée (défense de l’école libre en juin 1984)

Quant au Front national il a pratiquement disparu, payant au prix fort son positionnement « gaucho-lepéniste », ses incohérences programmatiques, et son absence de crédibilité. Sans le sou, réduit à une petite équipe de courtisans s’agitant autour de Marine Le Pen, il ne représente plus le moindre espoir d’alternative sérieuse au système en place.

Sur un tel champ de ruine, il existe un boulevard pour une force politique nouvelle issue de la société civile, suffisamment responsable pour soutenir les actions positives du gouvernement, mais assez lucide et totalement libre pour dénoncer ses reculades et combattre ses déficiences, en formant ainsi une force de recours en phase avec les aspirations des Français et les nouveaux enjeux de notre temps.

A partir de ce constat, nous avons décidé de créer une association intitulée Lorraine Force Bleue, ayant pour objet de fédérer sous un même label les initiatives actuellement en cours de développement, en leur fournissant un cadre pérenne, pour leur formation, leur travail, et leur représentativité.

A la fois comité de soutien et association-relai de la Révolution Bleue, Lorraine Force bleue (LFB) se donne pour objectifs :

- de créer des comités dans le plus grand nombre possible de villes lorraines,

- d’étudier l’actualité locale, d’organiser des débats et de prendre position sur les grands dossiers, en fonctionnant sur le modèle d’un « think tank » régional.

- de participer chaque fois que possible à l’expression du suffrage universel en Lorraine, à l’occasion des futures échéances électorales. Pour ce faire, Lorraine Force Bleue prendra des initiatives en vue de susciter ou de soutenir des candidats ou des listes défendant ses aspirations.

Notre expérience pourra ainsi servir d’exemple à d’autres régions, afin de rendre possible une nouvelle phase de développement de la Révolution Bleue.

Pour contacter Lorraine Force Bleue :
lfb-lorraine@voila.fr

Arnaud Damerval


samedi 22 septembre 2007

Mensonges et trucages

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Libre-Expression nous écrit, sur la colonisation.

les révolutionnaires bleus s'expriment

#11

Les antillais, n’ont aucun droit de parler de colonialisme.

On ne peut parler de colonisation, que lorsqu’un peuple, envahit la terre d’un autre peuple, or la vraie terre des noirs c'est l’Afrique pour ce qui concerne la Caraïbe, les blancs étaient là avant :

Aussi loin que l’on puisse remonter, il y avait, les indiens Arawak, puis les Caraïbes, qui mangèrent au sens propre, ces derniers. (Ils n’en existent plus qu’une petite communauté, en Dominique, entre la Guadeloupe et la Martinique, mis en quarantaine, et parqués comme des bestiaux, par des noirs, ceci dit au passage).

Après, Christophe Colomb, (blanc, jusqu'à preuve du contraire), au fil des guerres, anglais, hollandais, français, (toujours aussi blancs) décimèrent les derniers autochtones, sans se rater entre eux, (pour ceux qui pourraient croire que les horribles blancs, décimèrent que des indiens), puis s’installèrent sur ces terres, et, pour faire prospérer leurs plantations, emmenèrent des noirs.

Ou, ils se plaignent de l’esclavage… (Merci, tout va bien, ils ne savent d’ailleurs parler que de cela, nul ne peut nier l’ignominie de la traite des noirs, mais de là, à ne parler que de cela, il y a une marge), ou de la colonisation, (pas de problème non plus de ce côté, décidemment, ils ne savent que gémir, sur des faits vieux de 350 ans ? Sans parler que de toujours marcher à reculons, en ne regardant que derrière soit, n’est pas la meilleure façon d’avancer, et de préparer l’avenir).

Taubira, l’hystérique communautariste de la cause noire, se fait traiter de colonialiste, par les indiens amérindiens qui, eux aussi étaient là sur place, avant les noirs de Guyane. Tous ceux qui connaissent un peu ce département le savent bien, mais comme elle n’a qu’une seule et unique haine, bien dirigée d’un seul coté, elle ne peut pas en parler.

Quel homme politique, quel historien, va un jour oser, remettre de l’ordre, en ne rétablissant rien d’autre que les faits historiques irréfutables ? Qui va avoir le courage, d’oser dire des évidences, en leurs fermants leurs boites à mensonges et à lamentations perpétuelles au lieu de les encourager ?

Ces lamentations perpétuelles sont trop grosses, pour ne pas y voir, des idées sous jacentes, attisées par ces gauchos trop idiots pour en analyser les conséquences…….En ressassant perpétuellement ces mêmes complaintes usées jusqu'à la corde, dans un premier temps, cela crée un climat délétère qui n’existait pas avant entre les communautés. Là, déjà, cela pourrait être largement condamnable, voir punit par la loi.

Dans un deuxième, n’y aurait t-il que les gens sur place, pour entendre que nous devons les laisser indépendants, sous entendu sans blanc sur place, ce qui n’est bien sur, absolument pas du racisme !, mais avec autant d’argent, pour les dédommager, de l’esclavage, et de la colonisation ?

Ce n’est pas un hasard, si les plus virulents, dans ce domaine sont tous ces groupuscules indépendantistes…..Coucou !, revoilà, entres autres, Taubira, qui commença sa carrière politique avec le ‘’Walwary’’ (éventail en amérindien) franchement indépendantiste. Etiquette, qu’elle reprit pour les dernières élections législatives, avec le fameux slogan ‘’Nou kè la, pa bizouin pé’’ ‘’ (Nous sommes là, pas besoin d’avoir peur’’). Peur de quoi ? En tout cas ce n’est pas de l’argent des sales blancs : RMI, CMU, Allocations chômages, allocations braguettes, où la Guyane est championne de la joyeuse distribution ? (Il semblerait que les Radicaux de gauche, l’a trouvant trop ‘’communautariste’’ l’aient lâché. Excusez du peu….)

Vous serez crédibles quand on verra, des boat people : guyanais, martiniquais, guadeloupéens, aller s’expatrier ailleurs. Pour le moment, c’est le contraire qui se produit, nous semble t-il ? Arrêtons une bonne fois pour toute, de laisser grossir, perdurer, ces mensonges, pour aller au-delà, du raisonnable et sombrer dans le plus grand ridicule, qui à terme, est dangereux pour tous.

En attendant, ce sont aux blancs, de se plaindre aux Antilles, de la colonisation des noirs.

L-E

Vous avez aimé ???

Vous pouvez suivre ses chroniques, sur le Forum de la Révolution Bleue, sur son fil : ici .

Cet article marque la onziéme édition des "Internautes s'expriment"

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antico0911@yahoo.fr

vendredi 21 septembre 2007

La Révolution Bleue reprend !

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Gil Albert Li nous transmet cette information, merci d'en prendre bonne note !

C'est la rentrée !


Le prochain café politique de la Révolution bleue aura lieu
le :

vendredi 28 septembre 2007 de 17 h à 19 h à la brasserie

Le François Coppée, 1 Bd du Montparnasse Paris (6e), (Métro Duroc).

Retrouvez les dates en cliquant ici.


Pour la province, cliquez ici.




dimanche 16 septembre 2007

No al Comunismo en Venezuela

3 commentaires



La barricada cierra la calle, pero abre el camino...


Resistencia Santiago de León de Caracas
est un blog venezuelien qui combat le communisme de Hugo Chavez.

Cette personne est venue me voir sur mon blog pour me féliciter je l'en remercie, je profite de l'occasion pour lui dire, que son combat est nettement plus difficile que le mien, il doit affronter le pouvoir dictatorial de Hugo Chavez, moi je veut tout simplement rentrer dans l'esprit des gens, pour leur faire prendre conscience du mal qu'a provoqué le communisme, et le mal qu'il provoquera si personne ne fait
rien pour l'empêcher d'arriver au pouvoir.

Là je ne parle pas que de la France, je parle de tous les pays du monde entier, il faut à tout prix combattre ce fléau, même si la langue, le territoire, la culture nous séparent, le combat contre le communisme nous unit !

J'affirme ainsi mon soutien à tous les anticommunistes du monde.
Et c'est en combattant dans nos territoires, qu'on réussira à unir le monde contre le communisme !


Allez donc voir le superbe blog de notre ami Pandora(cliquez sur l'image) :


Opération Bravo

1 commentaires

La Cyber-Résistance lance l'opération Bravo :






Journal d'une manif pas comme les autres ...

Manifestation contre l'islamisation de l'Europe interdite...

Comme certains ne l'ont absolument pas remarqué, la manifestation devant avoir lieu à Brussel (une petite ville européenne assez méconnue) a été réprimée sévèrement. Manifestation contre l'islamisation de l'Europe, pacifique qui plus est.

La Belgique nous offre une magnifique démonstration mathématique, prouvant qu'il est ainsi plus payant (et efficace) d'être terroriste pour être entendu. De ce fait la Belgique, par ses interdictions, vient d'excuser et d'encourager le terrorisme mondial.


Je constate que les pacifistes (Musulmans), eux peuvent manifester, nous en sommes heureux, sinon nous n'aurions pas eu l'honneur de lire les si grands slogans d'un pacifisme extrêmement modéré et très tendance : Brulons tous les Israëliens, décapitons ceux qui insultent l'islam, Heil Hitler, Ben Laden est un héros, la liberté d'expression est le terrorisme de l'Occident.


Observons donc un des torche-cul qui nous « informe » :

Le millier de policiers déployés était supérieur aux manifestants, essentiellement des militants d'extrême droite arborant des drapeaux nationalistes flamands, voire, dans certains cas, des militants néo-nazis.

Donc d'après ce grand média « populaire », ce serait une « manifestation d'extrême-droite », nous nous permettons de rappeler au cas où, à ce grand jounal, que l'extrême-droite belge est presque aussi puissante que le parti Social Démocrate et l'extrême-droite Hollandaise, pratiquement au pouvoir, sans oublier le risque de voir un dirigeant d'extrême-droite Flamand sous peu. Ce n'est donc pas « marginal » ou « isolé », ce sont les partis les plus « populaires » de Belgique et de Hollande.


Cette manifestation de « 200 » personnes aurait « convergé » contre les forces de police malgré « l'interdiction ». Manifestation de 200 personnes, sachant que l'organisation en question n'avait pas « promis » d'envoyer 20 000 personnes, mais que 20 000 personnes ont promis à l'organisation de venir (ce qui est l'inverse, pauvre journaliste, c'est compliqué le français).


Mais nous le savons déjà, nous sommes des nazis, on s'y fait, vous savez. Après tout nous sommes pro-Israéliens, Anti-socialiste, Conservateur et traditionaliste pour la plupart (Preuve d'un anti-sémitisme terrifiant, Atrocement raciste, honteux, facho, ordurier, d'une violence inouï et absolument insupportable).


En face de nous, nous n'avons que de pauvres victimes de discriminations éternelles (1.100 millions de personnes, 55 pays possédant parmi les ressources naturelles les plus riches qui soient, une aide internationale constante et une tribune dans tous les (...) Lire la suite>>>

mardi 11 septembre 2007

Never Forget 11/09

2 commentaires



N'oublions jamais le 11 septembre...

P.S: Honte à tous ceux qui osent encore croire que le 11 septembre, a été un complot.
Comme disait
Maurice G. Dantec, lors du 11 septembre, les masques sont tombés, apparemment certains n'apprécient pas cela...

Drzz, vous expliquera certainement mieux que moi, cet épisode tragique de l'histoire...

http://leblogdrzz.over-blog.com/


mercredi 5 septembre 2007

Interdire les partis communistes?

11 commentaires



Le communisme...

Pourquoi interdire les partis communistes ?

Tout simplement parce que le communisme, n'est toujours pas interdit dans la plupart des pays, surtout en Europe, même après les génocides, les meurtres horribles qu’ils ont commis dans ces pays là.
Ce genre de parti n'a plus lieu d'être, étant donné les graves meurtres que ces derniers ont commis partout en Europe (et je ne parle pas des autres continents...).

On est en 2007, il est temps que les choses changent, il y a encore des nostalgiques de Staline, qui sont aussi nostalgiques du temps des Goulags…

Attention, je ne dis pas que tous les communistes sont nostalgiques de ces camps, je dis qu’une part de ces individus le sont, ce qui est déjà extrêmement grave et répréhensible, je dirais même que cela nuit à l’image de marque « humaniste » de la LCR où des partis du genre, d’avoir dans leurs rangs des gens qui regrettent encore cette époque…

De toute manière ces partis doivent disparaitre, ne serait-ce par respect pour les victimes de ce régime soit disant égalitaire, ce que je vois c'est que dans un siècle on aura encore en tête le danger que représentent l'idéologie nazie, grâce au Procès de Nuremberg, par contre les crimes du communisme risquent d'être oublié facilement niable avec l’absence d’un tel procès, enfin bon on ne vas pas revenir en arrière, ce procès aurait du être fait il y a bien longtemps…

Il faut commencer par le combat écrit, de nombreux blogs sur la toile, retracent l'histoire du communisme, cela permet déjà d'avoir une base "anticommuniste".

Je fais référence au blog Drzz, au blog de la révolution bleue, action libérale, etc…

De nombreux mensonges subsistent encore malgré l’arrivée tardive de documentaires traitant de ce sujet, je pense tout particulièrement à Che Guevara…

Ce qu'il ne faut pas perdre de vue, c'est que de nombreux partis communistes subsistent en Europe et ailleurs, enfin je vais rester vers la France, sachez mes chers amis étrangers que malgré le faible score qu'ont fait les partis communistes aux dernières élections, ils représentent tous partis additionnés 9.68 % de la population française.

Qu’est-ce que ca veut dire ? Cela veut dire que 9.68 % des français ont votés pour des partis se réclamant communiste où trotskiste, sachez aussi que comme le disait notre cher ami du vieux et toujours aussi admiré site noir du communisme, il existe encore des rues Lénine en France, et encore maintenant, et cela n’a pas changé depuis, il en existe encore !

Tous les documentaires (très récents) sur le communisme, tout ce qui est dit sur les blogs, sur cette atrocité dans les moindres détails sanglants et gores, cela ne suffirait donc pas pour que 9.68% des français s’identifient à un parti dit communiste ?!

Alors soit, ces gens ne sont pas assez informés sur ce qui s’est passé dans les pays de l’est, les pays d’Amérique du sud, d’Asie et d’Afrique, cela expliquerait donc que cette frange de la population ne mesure pas les dangers de ce que peut être le communisme un fois arrivé au pouvoir, cela implique par contre que notre boulot de réinformation historique, sur ce sujet là n’est pas assez importante, et suivie, ce qui n’est pas improbable, en constatant la gauchitude des médias et de L’Education Nationale.

Soit, ces gens là sont complètement fous, et ils sont tous nostalgiques de ce qui s’est passé dans les pires dictatures, donc dans ce cas là, on vit avec 9.68 % de gens qui désirent avoir en France ce qu’il s’est passé dans ces pays.

Dans les deux cas, il faut se poser des questions…

Pour en finir avec cette idéologie complètement décalé du monde réel, je souhaite tout simplement mettre à disposition une pétition, que les gens signeraient s’ils ont envie de voir ces partis disparaîtrent, soit pour la raison logique des atrocités commises, soit parce qu’ils pensent que ces partis représentent un réel danger, compte tenu qu’ils sont susceptible d’être élu (et oui rien n’est impossible dans le Royaume de France…) où soit tout simplement parce qu’ils considèrent ces partis complètement inutiles !

La pétition est juste un moyen de montrer combien de personnes, sont frustrés gênés honteux de voir ces partis exister encore en 2007, et qu’aucune mesure n’a été prise encore, pour rendre hommage aux quelques 180 millions de morts, de ces dictatures, c’est un moyen qui peut aider ceux qui veulent aller plus loin de le faire plus facilement, avec un certains nombre de voix, cela peut être plus convaincant.

Après, ce n’est pas à nous de faire la démarche, c’est aux politiques du monde d’analyser la situation, et d'agir !

Je vous invite donc à voter pour le sondage à droite de mon blog, où bien ici :

>>> Cliquez sur Moi <<<

J'ai écrit cet article, pour vous dire : réfléchissez c’est important !

Imaginez, que dans plusieurs décennies de telles dictatures reviennent, ce qui est totalement possible, si on ne se met pas à informer sur ce qui s’est passé avant, comment voulez vous que les générations futures sachent les dangers que représentent ces partis, une fois au pouvoir ?

Après, cela c’est des théories, je pourrais continuer à en faire pour 100 pages, mais ce qu’il ne faut pas oublier, c’est le danger du communisme, il ne faut pas oublier ce qu’ils ont fait, il ne faut surtout pas oublier ces millions de morts, ces millions qui aimeraient qu’on punisse leurs bourreaux, où à défaut de le faire puisque trop tard qu’on le fasse pour cette idéologie qui a prouvé qu’elle était sans avenir, du moins un avenir sanglant.

Alors envoyez moi des mails, dites moi ce que vous en pensez, laissez moi des commentaires sur ce blog.

La pétition est à venir, si quelqu’un veut m’aider, pas de problèmes, cela sera avec grand plaisir.

antico0911@yahoo.fr


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